J'évoquais ici la démarche d'adaptation en général et pas le travail du SGPE. Au SGPE, nous étions quinze personnes à temps plein lors de la première année. Aujourd'hui, nous sommes une petite trentaine de permanents. L'équipe apparaît assez resserrée, avec cette idée de coordination et cette volonté d'éviter les doublons par rapport aux travaux menés dans les ministères et par les directions d'administration centrale.
Je suis personnellement les sujets d'adaptation de façon transversale. Le but du PNACC est d'éviter une politique en silo. Elle doit surtout imprégner les politiques publiques et même l'action des collectivités et des entreprises privées, avec des filières économiques au sens large.
Mes collègues en charge de la biodiversité, de l'agriculture ou des bâtiments intègrent progressivement cette dimension dans leurs travaux quotidiens. L'administration et les acteurs nationaux doivent adopter la même démarche. C'est de cette manière que nous envisageons le PNACC-3.