À ma connaissance, ce n'est pas le cas. En outre, les problématiques de géométrie de l'autoroute sont moins complexes à gérer que celles relatives à la matière vivante. Il convient de faire preuve d'humilité par rapport aux enjeux du vivant.
Compte tenu des méthodologies qui sont appliquées, je ne crois pas qu'il existe un risque de sous-estimation des zones humides. Biotope a indiqué que l'intégralité de la parcelle serait prise en compte si le nombre de sondages effectués était insuffisant. Nous sommes donc attentifs à ce point afin de ne pas sous-estimer les impacts de l'infrastructure.
Enfin, nous ne disposons pas de l'expertise en interne sur de tels sujets. C'est pourquoi nous sollicitions l'intervention de sociétés comme Biotope. Nous nous heurtons donc à une limite de capacités pour analyser les préconisations des experts.