Cette séquence a fait l'objet d'une décision de l'Arcom sous forme d'une réponse aux plaignants, sans observation à notre encontre. L'autorité de régulation a estimé que « les propos signalés s'inscrivaient dans le cadre d'un débat d'intérêt général sur la transidentité, notamment des mineurs » et que « s'ils ont pu être considérés comme inappropriés par certains téléspectateurs […], il ne semble[ait] pas, au vu de l'ensemble des échanges, que leur auteur ait entendu encourager à des comportements discriminatoires […] envers les personnes transgenres ». Dans ces conditions, le CSA n'a pas relevé de manquement de l'éditeur à ses obligations. Le fait que certains sujets suscitent émoi et débat ne signifie pas pour autant que l'éditeur ait manqué à ses obligations.