En matière d'investissements, étant un opérateur de l'État, nous ne définissons pas les politiques publiques : nous offrons un cadre de concertation pour les discuter. Nous soutenons certains investissements relevant de dispositifs tant européens – relatifs aux fruits et légumes ou au vin notamment – que nationaux, comme le plan de relance et la planification écologique.
À propos du maraîchage, notre principal déficit concerne les fruits et non les légumes, secteur mieux structuré, où se rencontrent plus de coopératives de producteurs qui parviennent à se faire une place sur le marché en mettant leurs moyens en commun. Parmi les productions de fruits, celle de la pomme, dont les producteurs sont les mieux organisés, est aussi celle qui se porte le mieux. Il y a un vrai problème d'organisation économique.