L'outil nous fait de moins en moins défaut. Effectivement, nous exportons des pommes de terre vers la Belgique et les Pays-Bas, et réimportons des frites et des chips. Mais la situation est en passe de changer : deux usines en cours de construction, l'une et l'autre dans la région des Hauts-de-France, devraient permettre de rééquilibrer nos échanges avec nos voisins et amis belges.