L'agriculture reste un secteur au niveau européen comme français qui a de grosses capacités exportatrices. Les excédents européens et plus encore français, ce sont beaucoup les vins et spiritueux. Vous trouvez ensuite les produits laitiers, les céréales, et tous les produits transformés. Certains accords commerciaux – avec le Japon ou la Corée du Sud – nous aident tandis que dans d'autres accords l'agriculture est échangée contre des services ou des biens industriels.
Au sujet des monopoles, il est assez incompréhensible que les autorités de la concurrence soient aussi peu préoccupées des oligopoles dans la distribution aux particuliers. Nous nous sommes efforcés depuis le règlement Omnibus de 2018 d'accroître le pouvoir de négociation des agriculteurs mais ce n'est pas la solution. Il est plus efficace de chercher à discipliner un monopole ou un oligopole que d'accroître le pouvoir de marché d'une branche concurrentielle.