Il ne faut pas oublier que si nous en arrivons à des nationalisations de la PAC, nous restons dans un espace de libre-échange. Cela posera alors de vraies questions.
Il existe d'ores et déjà des distorsions de concurrence entre États membres en raison de l'application différenciée de directives. Nous sommes à un tournant et nous devrons décider si nous utilisons l'argument du Green deal pour uniformiser les réglementations entre les États membres ou si nous acceptons que chaque État développe sa politique. Si cette dernière option était retenue, de nombreuses questions se poseraient.