Nous convenons avec M. Moncharmont que, pour les exploitations en difficulté, il faut éviter la perte en capital ou la perte de l'outil de travail, pour que les agriculteurs puissent repartir et vivre de leur métier. On sait aussi que les exploitations en céréales sont celles qui connaissent les plus grandes difficultés ; or c'est cette culture qu'on retrouve dans cette partie du département
Pour ce qui est de la consommation d'eau, les agriculteurs subissent en effet des pressions – pas forcément de la part d'Atosca, mais à cause du travail qu'ils effectuent pour Atosca.
Enfin, la profession sera intransigeante pour exiger qu'Atosca soit soumise aux mêmes règles de consommation d'eau, en particulier en période d'interdiction faite aux agriculteurs d'arroser les plantes.