Bien que certaines communes aient effectivement connu des réaménagements fonciers par le passé, ce critère n'a pas été essentiel dans la prise de décision, et les commissions ont plutôt orienté les discussions sur la notion de solidarité et de traitement à travers un projet commun. Le choix de l'inclusion a ainsi été fait par les maires et les exploitants qui avaient su identifier un projet de territoire. Dans les endroits où la défense individuelle des intérêts a prévalu, les exploitants et les propriétaires se sont en revanche orientés vers l'exclusion. La commission étant composée pour plus de la moitié de membres locaux, les choix ont bien été effectués localement et non pas imposés par l'administration.