Cet argent est aujourd'hui déposé auprès de la Banque des territoires, qui est un organisme public. La chambre d'agriculture, si elle siège au sein du CDOA, ne dispose que de trois places sur un total d'une vingtaine de membres. Elle peut donc travailler et présenter des projets techniques, mais pas décider du fléchage des sommes, dont la responsabilité revient bien aux représentants du monde agricole. Non seulement nous ne détenons pas ces fonds, mais nous n'avons donc pas non plus le pouvoir de décider souverainement de leur orientation.