Si nous décidions de modifier l'assiette de calcul et de le fonder sur différents référentiels, comme l'inflation, le seuil serait probablement compris entre 250 et 350 millions d'euros. Mais le type d'entreprises que nous ciblons présentant généralement des besoins de financement importants à un stade précoce de leur développement, je propose d'arbitrer entre les plafonds proposés : fixons-le à 500 millions d'euros. Je ne suis pas arc-bouté sur ce chiffre mais il permettrait, je le répète, de financer quatre-vingt-huit PME supplémentaires qui en ont besoin.