Certains investissent, siègent au conseil d'administration et, pendant des années, réalisent des apports en nature ou font bénéficier l'entreprise de leur expertise, par exemple.
Des acteurs publics y contribuent également. Pour prendre un exemple qui me concerne doublement, en tant que député et en tant que président de la commission de surveillance de la Caisse des dépôts, si BPIFrance, qui investit de l'argent public, a permis à une start-up de se développer, il me paraît naturel que ses intérêts patrimoniaux soient protégés.