C'est en effet un élément important. En tant qu'élus, nous avons pris nos responsabilités, je le disais, mais la communication est difficile. L'atlas des risques n'est pas connu du grand public : lorsque la DCA, en analysant un dossier, pointe tel ou tel risque, les gens tombent souvent des nues. Avec le PPRN, nous avons joué la carte de la transparence : lorsqu'on veut déposer un dossier, on sait d'emblée à quoi s'en tenir. C'est l'avantage que nous avons : les gens nous critiquent très en amont !