La commune dispose de moyens classiques, comme les camions à bras élévateur, mais nous n'avons pas d'hélicoptères ni d'hydravions en Polynésie. Le Dauphin, qui appartient à l'État, vient prêter main-forte. C'est nécessaire, car certaines zones sont peu accessibles et il n'y a pas toujours de pistes agricoles ou forestières pour faire barrage à la progression du feu ou, tout simplement, y accéder. La commune va acquérir prochainement des drones pour assurer la surveillance et planifier les interventions des pompiers. Mais le principal problème est l'accessibilité des sites, ainsi que le peu de réserves d'eau disponibles sur place – une vraie difficulté, surtout en période de forte sécheresse.