Pas moins de 200 millions d'euros seront dédiés à un fonds en faveur de la souveraineté alimentaire et des transitions, qui accompagnera des démarches de structuration des filières associant amont et aval, afin de leur permettre d'adapter leur modèle économique aux exigences de décarbonation et de transition écologique et climatique.
Par ailleurs, des outils sont prévus dans le pacte et la loi d'orientation et d'avenir agricoles pour accompagner cette transition ; le mot « transition », d'ailleurs, doit bien figurer une trentaine de fois dans le projet de loi. Je pense à la création de France Services agriculture, à l'octroi de prêts garantis par l'État (PGE) à hauteur de 2 milliards d'euros ou encore à la création du fonds Entrepreneurs du vivant. Il serait donc inutile, car redondant, de créer un nouveau fonds.