D'ailleurs, ce débat a d'ailleurs eu lieu : l'idée d'un prix réglementé fixé par l'État a été rejetée par votre assemblée il y a quelques mois, pour trois raisons de fond et de bon sens qui restent valables aujourd'hui. Afin de trouver une solution à la fois opérationnelle, économiquement et juridiquement viable à ce problème, nous avons missionné les députés Anne-Laure Babault et Alexis Izard, que je tiens à remercier. Je précise que leurs travaux aboutiront avant la tenue d'une nouvelle négociation commerciale, il n'y a donc pas lieu d'agir dans la précipitation, comme vous le faites en reprenant un vieux texte déjà rejeté.