Notre collègue Armand nous invitait tout à l'heure à faire un pas pour que le dialogue puisse s'engager. Pourtant, lorsque la rapporteure décide de faire ce pas, on lui claque la porte au nez ! S'il y avait une réelle volonté de travailler à la façon d'affronter le défi électrique auquel nous serons confrontés d'ici à 2035, le dialogue pourrait peut-être s'engager. Mais le Gouvernement refuse de présenter son projet de loi de programmation et nos collègues refusent d'accepter la main tendue par la rapporteure : ils ne sont pas dans une volonté de dialogue mais cherchent à imposer leurs choix, au besoin en contournant le vote du Parlement. C'est la raison pour laquelle nous n'avons pas soutenu l'amendement précédemment adopté.