Il convient à la fois de dissiper les ambiguïtés, mais également de ne pas sombrer dans une inflation normative. Il importe d'encourager les bonnes pratiques par un recours plus systématique aux associations, afin de mettre en place une émulation positive avec les plateformes et les réseaux sociaux, et faire en sorte que l'accessibilité soit systématiquement prise en compte dès la création du documentaire ou du film, de manière qualitative.