Maxime Saada vous l'a dit, il a clairement envie de développer la partie française de Canal+ et la partie gratuite, en clair, qui correspond à un ensemble substantiel du groupe. Les dirigeants qu'il a nommés, et que je connais un peu, sont de qualité, comme le prouve le succès de ces chaînes. Si ces chaînes avaient très peu d'audience, ni vous ni personne n'en parlerait. Je suis frappé de voir à quelle vitesse cela monte. Le vrai sujet est de savoir si vous avez envie d'encourager un grand groupe français qui, par ailleurs, connaît des développements internationaux, ou si vous voulez que quelqu'un d'autre prenne la place. On s'adaptera. Notre groupe occupe une place majeure dans d'autres métiers : nous sommes le premier actionnaire du premier groupe musical au monde. Là aussi, nous y avons travaillé. Je vous ai raconté l'histoire de Canal+ et des sachets à thé… On part de ce que l'on trouve en l'état et, en dix ans, en vingt ans, avec nos équipes, en suivant les caps que l'on s'est fixés, on transforme les entreprises en grands champions. Il nous arrive, ensuite, de les marier, de les vendre.