L'actionnaire, c'est Alberto, dont je vous ai parlé tout à l'heure… Je plaisante.
Je n'ai jamais rencontré ce monsieur, je ne sais pas ce qu'il a fait, je n'ai jamais vu ce dont vous parlez. Je suis désolé pour ce garçon, j'espère que tout va pour lui, mais je dirigeais alors un groupe de 80 000 personnes et je ne suis absolument pas responsable de tout ce qui s'y est passé. En politique, vous êtes responsables de ce que vous dites puisque c'est ce que vous faites toute la journée, mais quand vous êtes à la tête d'un grand groupe, français ou étranger, vous ne pouvez gérer que les six ou sept personnes qui dépendent de vous. Je peux donc vous parler de mes relations avec les six ou sept personnes qui dépendaient de moi à l'époque, mais je ne connais malheureusement pas celles dont vous me parlez. Je le répète, je suis désolé pour elles.