Une culture intensive du blé fixe très peu de carbone dans l'humus des sols ; une prairie permanente en Bretagne, beaucoup. En effet, la fixation s'opère par la photosynthèse : le rendement élevé d'une céréale peut se traduire par une très faible séquestration de carbone dans les sols. À cet égard, le labour tamisé visant des rendements élevés en pommes de terre est une absurdité.