Je suis accompagné du lieutenant-colonel Alexandre Carrat, chef de bureau de l'État-major interministériel de zone de défense et de sécurité (EMIZ), de M. Pragash Eganadane, directeur de la Direction du service de l'État de l'agriculture, de la forêt et de l'environnement (DAFE) et de M. Frédéric Atger, directeur de la Direction interrégionale, Nouvelle-Calédonie et Wallis et Futuna de Météo-France. À quatre, nous pensons être en mesure de traiter l'ensemble des questions qui nous ont été communiquées sur le thème des événements naturels majeurs.
Premièrement, vous devez avoir conscience que les événements naturels majeurs sont traités prioritairement, non par l'État, mais par la Nouvelle-Calédonie, puisqu'ils relèvent de sa compétence.
Deuxièmement, au-delà de l'archipel calédonien, pour la zone maritime qui l'entoure, il n'y a pas de préfet maritime en Nouvelle-Calédonie. Le haut-commissaire assure cette fonction. Là aussi, le partage des compétences avec le président du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie est très important. Ce territoire se situe aux confins de l'autonomie et beaucoup de compétences ont été transférées. J'y reviendrai si vous le souhaitez.