Dernière tentative pour limiter la portée du dispositif d'agrément, cet amendement vise à fixer des seuils – 35 000 titres par an pour la presse écrite, une moyenne annuelle de 8 % d'audimat pour l'audiovisuel et de 5 % pour la radio – qui éviteraient de pénaliser les plus petits acteurs des médias, lesquels n'ont pas besoin d'un surcroît de complexité administrative.