Nous y sommes également favorables, mais je m'étonne de ce qu'un certain nombre d'amendements que nous avions déposés à propos de la conditionnalité des aides à la presse – sur la question des suppressions d'emplois, du respect du code du travail, sur l'absence de condamnation pour injures raciales par exemple – n'ont pas été jugés recevables. Je me félicite de ce que la question de la parité, présentée par ma collègue macroniste, l'a été ; mais je regrette que nous n'ayons pas pu discuter de l'ensemble des conditions pour les aides à la presse, lesquelles représentent des millions et des millions, allant dans les poches de quelques gros groupes.