La situation est la même à Saint-Germain-des-Prés. Nous ne sommes pas non plus dans la direction des vents dominants. La localisation de la future usine, qui sera distante de l'école de 1,3 kilomètre, inquiète les parents, mais on nous a promis que des capteurs d'air seraient installés autour de l'établissement.
Les anti-autoroute se servent maintenant de l'usine pour créer des collectifs et continuer à poser des questions. Nous avons déjà organisé une réunion, en présence de M. Terlier, pour essayer de rassurer les gens, mais seuls les opposants à l'autoroute et à la centrale d'enrobés y ont participé, ce qui rend la situation un peu compliquée.