Nos capacités d'hébergement sont déjà saturées, en raison d'un autre phénomène, à savoir la demande d'asile des proches. L'immigration régionale provient essentiellement du Brésil, de Haïti et du Suriname. Les personnes ne bénéficient pas de dispositifs d'hébergement, mais sont logées dans des habitats spontanés, que je qualifierais de « communautaires ». Nos capacités d'hébergement répondant aux urgences classiques et aux demandeurs d'asile ne s'élèvent qu'entre 1 100 places et 1 300 places.