Merci, madame la rapporteure, de votre engagement en faveur de la montagne, notamment au sein de l'Association nationale des élus de la montagne. J'ai une pensée pour Jeanine Dubié, qui a beaucoup travaillé avec vous. Bravo d'avoir pris ce sujet à bras-le-corps !
Vous l'avez rappelé, la profession ne nous a pas attendus pour s'organiser : cela fait plus de soixante ans qu'elle a compris que la solidarité intergénérationnelle ne devait pas être un vain mot, que la transmission des savoirs était essentielle. Mme Bonnivard rappelait la grande technicité indispensable, ainsi que la durée de sept ans nécessaire pour être totalement opérationnel. Il n'y a pas beaucoup de cursus d'études qui durent aussi longtemps ! N'oublions pas non plus les grandes responsabilités confiées aux moniteurs : ces hommes et ces femmes appliquent des règles de sécurité rigoureuses et risquent parfois leur vie. J'ai une pensée pour les alpinistes récemment décédés dans le domaine du Mont-Dore.
Ce beau mécanisme est un clin d'œil fait aux jeunes, qui s'inquiètent parfois de ne pas trouver de créneaux, donc de ne pas être rémunérés.
Nous n'avons pas oublié le système des retraites. M. Clouet est toujours à la recherche de dispositifs complémentaires : en voilà un qui semble intelligent !
Merci à notre rapporteure de se faire l'ambassadrice d'une des fiertés de notre pays. L'économie blanche est magnifique : le monde entier vient en France, notamment dans les Alpes.