Même avis. Le rapporteur et le rapporteur pour avis ont souligné le risque de fixer trop de choses dans la loi et, ce faisant, de compromettre la capacité de l'autorité indépendante à bien organiser son travail de manière à assurer la sûreté dont les Français ont besoin et à laquelle ils ont droit. Ces dialogues sont déjà possibles aujourd'hui sans qu'ils ne figurent dans la loi ; ils le resteront évidemment demain. Laissons l'autorité s'organiser en ce sens, dans le cadre de son règlement intérieur.