Parmi les violences faites aux femmes, il est assez peu question des stalkerwares, des logiciels de traque installés à l'insu des victimes. Ces logiciels espions permettent à certains hommes de suivre leur femme, de lire ses messages et de la géolocaliser. Or, il existe désormais des dispositifs capables de détecter leur présence dans les smartphones ou les outils infectés : l'État a développé Veriphone, au sein du tribunal judiciaire de Paris ; Tinycheck a été créé par Félix Aimé ; et La Poste a mis en place un outil expérimental. Disposez-vous d'un état des lieux à ce sujet ? Comment faire davantage connaître ces outils pour déceler ces logiciels malveillants ?
À l'heure du numérique, nous ferons face à des besoins de recrutement très importants en Stem (science, technologie, ingénierie et mathématiques) de la part de la cybersécurité ou de la tech. Comment davantage favoriser les femmes qui ont des compétences et des talents évidents et qui ont toute leur place dans ces domaines ?