La plus grande partie des baisses de crédits concerne l'aide publique au développement (APD) ; or celle-ci a doublé depuis 2017, pour passer de 7,5 milliards à 15,8 milliards d'euros. L'engagement de la France en faveur des pays les plus fragiles et les plus pauvres est essentiel ; cependant il serait difficile d'expliquer à nos compatriotes que nous devons réduire les dépenses à cause du retournement conjoncturel mais que nous maintenons le niveau de l'APD.