Cette initiative, qui avait également été saluée par M. Bolloré, représentait selon moi un progrès informel s'inscrivant dans une logique de corégulation et permettant d'entretenir un climat de confiance avec les éditeurs. Le fait que ces conversations, malgré leurs enjeux, ne se soient pas muées en engagements précis et concrets, s'explique par l'absence de leviers d'influence et par notre position de faiblesse au sein de cette logique bilatérale. Le CSA a trop souvent été en position de demandeur faute de disposer des moyens qui lui auraient permis de se trouver en position d'enquêteur.