Selon l'argumentation des acteurs en place, autoriser des chaînes gratuites supplémentaires était synonyme de désastre économique et il n'y avait de place que pour deux ou trois chaînes d'information au maximum. À mon sens, l'information en continu était vouée à un développement certain, et nous avons ainsi, en accord avec le collège, autorisé la création de chaînes nouvelles. Bien que leur succès soit aujourd'hui inégal, il est important de rappeler que la concurrence constitue un principe fondamental et que le CSA n'a pas vocation à appliquer une logique malthusienne.