C'est intéressant. La situation dans laquelle vous nous placez soulève une question qui va se poser avec force. D'un côté, on a la loi, des chaînes publiques obéissant à un cahier des charges, une autorité de régulation chargée de contrôler qu'elles le respectent. De l'autre, on a un collectif. Je ne sais pas qui c'est. Ils publient sur les réseaux sociaux, ils peuvent être manipulés par Pierre, Paul ou Jacques, je n'en sais rien. Et dans cette assemblée même, vous mettez sur le même plan ce collectif sans identité et l'Autorité de régulation de la communication.