Les dommages ont été très différents par leur ampleur entre les deux îles. On estime que la part du bâti présentant des dommages significatifs à très importants atteignait 16 % à Saint-Barthélemy et 54 % à Saint-Martin. Ce facteur, auquel s'ajoutent d'autres vulnérabilités, explique que Saint-Martin se soit relevé moins rapidement.