Vos interventions restituent très bien l'ambiance qui régnait dans les deux territoires de Saint-Martin et de Saint-Barthélemy au moment du passage de l'ouragan. J'ai constaté aussi, qu'au lendemain de celui-ci, des personnes extérieures à l'île, qui étaient venues y travailler – à l'école, à l'hôpital ou dans différentes administrations –, et dont le centre des intérêts matériels et moraux (CIMM) n'était pas situé sur ces îles, ont été à ce point traumatisées qu'elles se sont enfuies. Elles ont été évacuées en urgence, avec l'aide de l'armée, et nombre d'entre elles ne sont pas revenues. Avez-vous vu la même chose ?