Je reviens sur les raisons pour lesquelles l'urgence écologique mérite un traitement spécifique. Je rappelle que la France a pris des engagements forts en la matière, et que notre trajectoire suppose d'embarquer l'ensemble de la population si nous souhaitons tenir nos objectifs. C'est pourquoi j'insiste autant sur ce sujet. Les fake news qui circulent sur les plateformes contribuent à limiter l'implication de nos concitoyens, voire à leur désengagement. Je réitère donc ma question sur l'intérêt d'étendre les compétences de l'Arcom aux enjeux écologiques.