Sur le territoire national, les armées n'agissent pas dans ce domaine, qui relève du champ politique. Nous pouvons nous réjouir de vivre dans un État de droit. Dans les critiques que formulent les diasporas, il y a une part de responsabilité collective, notamment portée par les médias, et qui peuvent contraindre nos opérations.
Par ailleurs, vivre dans un État de droit ne dispense pas de faire preuve d'un peu de cohérence. Les gens qui critiquent notre action ont une position fragile et elle-même critiquable, tant elle est aux antipodes de la réalité du terrain. Je ne peux, pour ma part, qu'en anticiper ou essayer d'en maîtriser les conséquences.