Je soutiens cet amendement, qui me permettra de retirer l'amendement n° 29 en fin de discussion.
Au-delà du texte que nous sommes en train d'examiner, la question de l'application de la législation actuelle se pose. S'agissant de l'ultrafast fashion, cela a été mis en lumière par des ONG qui ont commandé des produits pour mesurer les taux de perturbateurs endocriniens qu'ils contenaient ou pour constater des situations de concurrence déloyale liées à des conditions de production illégales.
Comme en matière agricole – je pense à l'article 44 de la loi Egalim (loi pour l'équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine, durable et accessible à tous) –, il faut faire appliquer la loi et renforcer les moyens dont dispose la DGCCRF pour contrôler les importations.