Vous mettez en doute l'accessibilité des formations, en raison de leur coût. Or, des formations peuvent être dispensées dans l'enseignement supérieur – université, BTS – mais aussi dans l'enseignement professionnel régional. Ainsi, les conservatoires qui proposent des cours de hip-hop actuellement dispensés par des professeurs de danse jazz pourront offrir des formations dans lesquelles l'enseignement du hip-hop sera pleinement reconnu, permettant ainsi aux danseurs, dont certains se ruinent aujourd'hui dans des formations privées pour réaliser leur rêve de devenir professeur, d'accéder à des formations publiques, moins onéreuses. Nous n'avons pas, monsieur le député, la même conception de la promotion sociale et de la reconnaissance du mérite.