. – On fait aussi de la recherche. On publie environ 80 papiers scientifiques par an. Il s'agit de recherche sur les données que l'on héberge. En les articulant avec le système national des données de santé (SNDS), qui regroupe les données de santé en vie réelle, on est capable de procéder à des modélisations. On a par exemple sorti des publications sur l'impact de la pauvreté sur l'accès aux soins ou sur la prévention. Si l'on devait voir évoluer les missions de l'Agence de la biomédecine, nous serions ravis de pouvoir devenir un acteur de la recherche et de pouvoir héberger des étudiants en tant que laboratoire, pour exploiter ces données, qui alimentent notre connaissance de tout l'écosystème.