. – L'avant-dernière question porte sur la recherche sur les embryons. Nous considérons que les ajustements de la dernière loi de bioéthique sont plutôt positifs. Depuis que la loi a été promulguée, l'Agence a instruit treize déclarations de recherche sur les cellules souches embryonnaires et sept déclarations de conservation. Cela fonctionne plutôt bien. Les délais d'instruction ont été extrêmement réduits par ces nouvelles procédures, car on a toujours pu les analyser avec l'expertise interne de l'Agence, sans avoir recours à des experts extérieurs. Je pense que c'est un bon équilibre, qui a permis de donner un peu de fluidité à certaines demandes, qui sont étudiées plus rapidement, tout en respectant l'encadrement. Cela permet des recherches plus rapides.