Nous sommes éditeurs de chaînes de télévision et de radio. À ce titre, nous serions menacés potentiellement par une éventuelle baisse de nos revenus sur la radio, même si elle pourrait être compensée par la télévision. Dans notre groupe, les montants en jeu dans la radio et la télévision sont à peu près les mêmes s'agissant du secteur de la distribution. Notre analyse est clairement opposée à celle de nos collègues de NRJ : nous avons la conviction que l'assouplissement de la réglementation ne retirerait pas un seul euro à la publicité radio, les transferts vers la télévision proviendraient uniquement du digital.