Intervention de Cécile Rilhac

Réunion du mercredi 28 février 2024 à 9h30
Commission des affaires culturelles et de l'éducation

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCécile Rilhac :

La diversité des pratiques, la part croissante des personnes en situation de handicap dans les milieux du sport et de la culture, l'évolution du rapport au corps et l'essor des outils numériques obligent à repenser la formation des enseignants en danse pour l'adapter aux caractéristiques et défis de notre siècle. La qualité des formateurs constitue une condition essentielle de la qualité des futurs enseignants. Quels dispositifs visent à atteindre ces objectifs, notamment concernant le handicap ?

Vous connaissez mon investissement dans le domaine de la formation continue. Celle des professeurs de danse était quasi inexistante jusqu'à la création du Centre national de la danse, en 1998. Il faut désormais maintenir le niveau de qualification des professeurs de danse, en intégrant ces enjeux nouveaux.

Mme Bénédicte Auzanot (RN). Avez-vous réfléchi au niveau d'exigence de l'examen d'aptitude technique (EAT), qu'il faut réussir pour s'inscrire à la formation au diplôme d'État ? De nombreux témoignages dénoncent une baisse de ce niveau depuis plusieurs années.

Quel rôle ont joué les centres délivrant l'EAT dans l'élaboration du texte ?

Comment sont choisis leurs directeurs et ceux des centres de formation au DE ? Est-il exact que des responsables de centre de formation sont parfois membres du jury du DE et des commissions d'attribution des dispenses et des équivalences ? Si oui, trouvez-vous cela normal ?

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