Nous faisons une vraie différence entre les experts, dont le parcours professionnel les amène à commenter un fait particulier sur l'antenne de LCI, et les éditorialistes, dont le profil est assez large et qui sont généralement des journalistes. Pour faire simple, à LCI, nous en distinguons deux types.
Certains éditorialistes sont directement rattachés à la rédaction de LCI ou de TF1. La plupart sont des éditorialistes politiques : rentrent dans cette catégorie le chef du service politique, Adrien Gindre, de même que Valérie Nataf, Arlette Chabot ou Ruth Elkrief. Ces journalistes du groupe TF1 qualifient un événement et en expliquent le sens ou la portée, sans donner leur avis personnel – il ne s'agit pas d'un éditorialisme d'opinion.
D'autres éditorialistes intervenant sur LCI sont des éditorialistes associés : ils travaillent pour un titre de presse écrite ou ailleurs. C'est le cas de notre éditorialiste du matin, Soazig Quéméner, journaliste à La Tribune Dimanche, du spécialiste des questions européennes dans l'émission de David Pujadas Jean Quatremer, journaliste à Libération, ou encore de Guillaume Roquette, du Figaro Magazine, qui intervient dans les émissions du soir. Ils sont présentés en citant le média auquel ils appartiennent – les téléspectateurs savent donc exactement qui leur parle – et vont généralement plus loin dans la qualification de l'événement, par rapport auquel ils se positionnent de manière plus politique.