Elles font ainsi croire, avec la complicité de certaines autorités, que nos sites nucléaires sont exposés à des risques, alors qu'ils ne le sont pas. Or un État digne de ce nom devrait empêcher Greenpeace et toutes ces personnes convaincues d'avoir tous les droits de pénétrer dans ces installations, mais les autorités sont lâches et complices.
Monsieur le ministre délégué, il est temps de vous demander d'appliquer la loi, puisqu'elle ne l'est pas, et d'envoyer un signal. Quand des associations se permettent de pénétrer dans des sites aussi sensibles que les centrales nucléaires, elles doivent perdre tous leurs avantages fiscaux.