Plusieurs de mes collègues et moi-même avons défendu, au début de la législature précédente, dans le cadre de l'examen de la loi Egalim – loi pour l'équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine, durable et accessible à tous – des amendements visant à mettre fin au broyage des poussins mâles et à la castration des porcelets à vif, ou à expérimenter la surveillance vidéo dans les abattoirs. On peut d'ailleurs se réjouir que l'action de la majorité présidentielle ait permis de progresser en matière de protection du bien-être animal.