Si j'en crois les états généraux de l'alimentation, les interprofessions et les représentants des agriculteurs attendent qu'on élabore une contractualisation, par une marche en avant, en partant d'indicateurs de référence qu'ils auront eux-mêmes définis. C'est précisément ce que nous organisons.
Quant aux traités de libre-échange, vos propos dénotent une confusion assez profonde.