Cela suppose d'instaurer un moratoire pour tout nouvel accord de libre-échange. Cela suppose aussi de recourir, autant que possible, à la clause de sauvegarde figurant dans les règles de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) – clause qui peut être activée dès lors qu'une production nationale. Nul besoin de Frexit !
Il conviendrait aussi d'amener, d'ici quelques années, les cantines à s'approvisionner à hauteur de 80 % en produits locaux et d'instaurer un chèque alimentaire favorisant les produits locaux.