Je laisse à Stéphane Séjourné, que nous auditionnerons tout à l'heure, le soin de répondre à cette question. Il connaît bien la situation et a rencontré son homologue il y a quelques jours. Le soutien de la France est évident et indéfectible.
Pour être fort, il faut être plusieurs. Nous ne pouvons pas agir seuls. Il importe d'avoir d'autres pays européens autour de nous pour soutenir l'Arménie. Dans le cadre du groupe d'amitié, nous allons créer un intergroupe des groupes d'amitiés européens, pour que tous les parlementaires engagés auprès de l'Arménie puissent acculturer leurs collègues à la situation et les amener à soutenir la démocratie arménienne.