Lors des opérations dans le Haut-Karabakh, nous étions isolés dans l'UE pour voler au secours de l'Arménie et n'en avions pas les moyens. Nous n'avions avec nous que la Grèce et Chypre. Nous avons consenti, les uns et les autres, des efforts considérables pour élargir le cercle. L'Allemagne, les pays baltes et certains pays scandinaves sont désormais plus sensibles qu'ils ne l'étaient à la cause arménienne.